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SNUDI-FO 29

31 octobre 2014

Elections professionnelles: notre profession de foi et notre liste.

 

 

Elections aux Commissions Administratives Paritaires 2014

Professeurs des écoles et instituteurs

 

 

 

Liste SNUDI-FO 29, conduite par Céline CHOPIN

FO, l’indépendance

FO, la différence

Abandon de la réforme des rythmes scolaires

Abrogation des décrets Peillon et Hamon 

Nous voulons rester des enseignants fonctionnaires d’Etat

Nous ne voulons pas être placés sous la tutelle des municipalités

Votez Force Ouvrière

le syndicat qui défend le statut et les mêmes revendications

au plan national et au plan départemental

4 votes :

  • 1 au CTM :       liste nationale FNEC-FP-FO
  • 1 à la CAPN :   liste nationale du SNUDI-FO
  • 1 au  CTA :       liste académique FNEC-FP-FO
  • 1 à la CAPD :   liste départementale du SNUDI-FO

Pourquoi voter pour Force Ouvrière ...

  • FO rejette l’austérité qu’elle soit de droite, de gauche ou syndicale
  • FO revendique l'abandon du pacte de responsabilité qui prévoit 50 milliards de coupes budgétaires dans les dépenses publiques et 40 milliards d’allègement de charges pour les entreprises.
  • FO revendique l’augmentation générale des salaires, assez du blocage des salaires qui entraîne une perte de notre pouvoir d’achat :Augmentation immédiate de 8% de la valeur du point d’indice et 50 points d’indice pour tous - du taux de passage immédiat à 7% pour la hors classe - ISAE à 1200 € pour tous, sans exception.

ÆFO dénonce la mystification que représente la "création des 60 000 postes" et exige la création des postes nécessaires.

     Avant d’annoncer « plus de maîtres que de classes », il faut que le ministre

- assure qu’il y ait autant de maîtres que de classes

- rétablisse en urgence les 5000 postes de RASED supprimés depuis les décrets Darcos et tous les postes dans l’A.S.H.

 

Nous voulons rester fonctionnaires d’Etat, non à la territorialisation !

 ÆFO revendique l’abrogation des décrets Peillon/Hamon sur les rythmes scolaires

Non à la confusion entre le scolaire et le périscolaire, au Projet éducatif territorial (PEDT), à l’augmentation du temps de présence et à la généralisation du travail le mercredi... 

FO a voté contre le décret Peillon au CSE du 8 janvier 2012

 

ÆNon à l’annualisation de notre temps de travail -

Abrogation du décret du 20 août 2014 remettant en cause les 24 heures d’enseignement hebdomadaire pour les remplaçants et les enseignants sur postes fractionnés.

ÆNon aux 108 heures annualisées

 

Nous voulons rester enseignants et conserver nos garanties statutaires

 *  Création des postes aux fonctions statutaires clairement définies, non aux postes à profil et aux postes réservés

*Non à l’école du socle qui, avec ses conseils école-collège et ses échanges de service, remet en cause nos obligations de service statutaires

 

FO a voté contre la loi de Refondation au CSE du 14 décembre 2012

* Respect du droit :

- aux mutations interdépartementales, qui deviennent une exception.

- au mouvement intradépartemental, menacé par la multiplication des postes à profil

- au temps partiel, remis en cause par les décrets Peillon /Hamon

 Le SNUDI-FO a multiplié les délégations au ministère  pour défendre des centaines de dossiers de mutation

  FO a obtenu que la prérentrée 2014 soit différée au 1er  septembre sans rattrapage.

Non à la prérentrée le 28 août 2015 et au rattrapage d’une journée déjà travaillée

* Abrogation de la mastérisation, rétablissement d’une véritable formation professionnelle initiale à temps plein

FO a voté contre au CTPM du 28 mai 2009.

 

Pour l'action déterminée,

Pour obtenir l'abandon de la réforme des rythmes scolaires

Pour défendre en toutes circonstances les droits statutaires.

Votez SNUDI-FO et FNEC-FP-FO

prof_de_foi_CAPD29_1

Notre liste:

ELECTION A LA COMMISSION ADMINISTRATIVE PARITAIRE DEPARTEMENTALE UNIQUE COMMUNE AUX CORPS DES INSTITUTEURS ET PROFESSEURS DES ECOLES

DEPARTEMENT DU FINISTERE

Elections professionnelles 2014

9 titulaires,  9 suppléants

 Liste présentée par la Fédération Nationale de l’Enseignement, de la Culture et de la Formation Professionnelle - FORCE OUVRIERE

  1. Mme CHOPIN Céline, PE classe normale (adj élém)- Ecole des Moulins- Plouvien
  2. Mme DUBUES Brigitte, PE classe normale (adj mat)- Ecole Primaire de Kergroës- Moëlan sur mer
  1. M. IQUEL Stéphane, PE classe normale (adj élém)- Ecole Elémentaire- Telgruc sur mer

      4. Mme DOLLO Aurélie, PE classe normale (adj élém)- Ecole Primaire Jules Ferry- Plounéour Ménez

  1. Mme LEJOSNE Cynthia, PE classe normale (adj élém)- Ecole Elémentaire Plonéour Lanvern
  1. Mme LE CAM Christelle, PE classe normale (adj élém)Ecole des Moulins- Plouvien
  1. Mme LE HERISSE Karine, PE classe normale (dir) Ecole Primaire du Bourg- Argol
  1. Mme CANO Catherine, PE classe normale (brigade)Ecole Maurice Henensal - Guipavas
  1. M. PLONCARD Edmond, PE classe normale- EREA Louise Michel- Quimper
  1. Mme BALP Murielle, Instit classe normale (adj mat) Ecole Maternelle Joliot Curie- Scaër

    11. Mme CHEROWSKI Carole, PE classe normale (adj mat) Ecole Jean Jaurès- Morlaix

  1. Mme FLANQUART Javotte, PE classe normale (adj) Ecole Pierre Le Lec- Audierne
  1. M. BAY LUCET Philippe, PE classe normale (adj élém) Ecole Elémentaire Jean Macé- Brest
  1. Mme CLAVEL Valérie, PE classe normale (adj élém) Ecole des Moulins- Plouvien
  1. Mme LHYVER Nathalie, PE classe normale (adj mat) Ecole Coat Pin- Riec sur Belon

    16. Mme CHEVASSUS JOLLIVET Patricia, PE classe normale (spé option E) RASED Ecole Alsace Lorraine- Rosporden

    17.M. VIENOT Florent, PE classe normale (ULIS collège Lesneven) Ecole Joseph Signor - Landéda

    18.Mme BONNEAU Sophie, PE classe normale (adj élém) Ecole Josette et Jean Cornec- Quimerc’h

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31 octobre 2014

Intervention de Nobert Trichard au Sénat concernant les rythmes!

A voir absolument!!

http://videos.senat.fr/video/videos/2014/video21528.html

 

 

 

31 octobre 2014

Communiqué intersyndical sur les rythmes scolaires

28 octobre 2014

CHS CT suite: les assistants de prévention c'est quoi?

http://www.education.gouv.fr/cid61422/la-creation-de-500-emplois-d-assistants-charges-de-prevention-et-de-securite-aps.html

http://www.education.gouv.fr/pid25535/bulletin_officiel.html?cid_bo=61301

 

Assistants chargés de prévention et de sécurité

Missions, recrutement et formation

NOR : MENE1233197C
circulaire n° 2012-136 du 29-8-2012
MEN - DGESCO


Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie ; aux directrices et directeurs académiques des services de l'éducation nationale ; aux chefs d'établissement

Les assistants chargés de prévention et de sécurité (APS) sont mis en place afin d'augmenter, dès la rentrée scolaire 2012, le nombre des adultes présents dans les établissements scolaires les plus exposés aux phénomènes de violence et dont le climat nécessite d'être particulièrement amélioré.

1. Missions et positionnement des APS
Le recrutement d'APS vise à renforcer les actions de prévention et de sécurité conduites au sein de ces établissements et à répondre à leurs besoins spécifiques en définissant un nouveau métier.
Ils contribuent à l'analyse de la situation de l'établissement pour favoriser la mise en place d'une politique de prévention.
Ils participent à l'action éducative, en complémentarité avec les autres personnels et, selon les situations, avec les équipes mobiles de sécurité (EMS).
Ils concourent au traitement des situations en cas de crise grave compromettant la sécurité des personnes et des biens, afin de rétablir les conditions nécessaires au bon fonctionnement de l'établissement.
Les APS exercent leurs missions sous l'autorité du chef d'établissement, garant de la sécurité des personnes et des biens. Ils s'intègrent dans l'action d'une équipe pluridisciplinaire de prévention rassemblant les compétences de différents personnels (conseillers principaux d'éducation, personnels sociaux et de santé, conseillers d'orientation-psychologues, etc.) et participent, à ce titre, à l'amélioration du climat scolaire. Leur action ne se substitue pas à la mission de surveillance dévolue aux assistants d'éducation.
Les APS peuvent, selon les situations, être les interlocuteurs des partenaires extérieurs et, en cas d'incident grave, contribuer à organiser le lien avec les équipes mobiles de sécurité.

2. Choix des établissements
L'enquête Sivis 2010-2011 fait apparaître qu'un peu plus de la moitié des incidents déclarés concerne 10 % des établissements du second degré, et que 5 % d'entre eux concentrent plus du tiers des incidents.
À partir de ce constat, il convient d'affecter, dès la rentrée 2012, 500 emplois d'APS dans les établissements du second degré que vous jugerez les plus exposés. Pour ce faire, vous vous inspirerez des critères proposés en annexe 1 de la présente circulaire.

3. Activités du poste
Actions de prévention, d'éducation auprès des élèves
- contribuer à sensibiliser les élèves au respect de l'autorité, ainsi qu'à l'appropriation des règles de vie collective, de droit et de comportement au sein de l'établissement ;
- contribuer à la prévention des conduites à risques ;
- identifier des signes précurseurs de tension et constituer un appui pour définir des stratégies de prévention des difficultés ;
- contribuer à prévenir et gérer les situations de tension grave dès qu'elles se présentent ; intervenir dans la gestion des conflits entre élèves et contribuer à la résolution des situations de violence avérée ;
- participer aux modalités de prise en charge des élèves très perturbateurs ou ayant fait l'objet de procédures disciplinaires. L'APS peut être le « référent » du jeune pendant cette période.
Actions à l'attention des personnels
- organiser une information pour les personnels sur les facteurs de risques au sein de l'établissement et à ses abords ;

- sensibiliser les personnels aux problématiques de violence auxquelles les élèves peuvent être confrontés.
Participation aux instances de l'établissement
- conformément aux dispositions réglementaires en vigueur, les APS peuvent participer aux travaux du comité d'éducation à la santé et à la citoyenneté, ainsi qu'à la commission éducative.
Relais, sous l'autorité du chef d'établissement, auprès des équipes mobiles de sécurité (EMS)
- concourir à l'organisation d'une fonction de veille et d'anticipation des situations de violence ;
- apporter au chef d'établissement des éléments pour solliciter une intervention éventuelle des EMS ;
- proposer au chef d'établissement des outils permettant la transmission aux EMS des informations nécessaires au suivi des situations complexes (mode de transmission et fréquence à définir avec l'EMS : fiche navette, courrier électronique, contact téléphonique, etc.), ainsi que des critères nécessitant l'intervention des EMS.
Favoriser les actions de partenariat
- contribuer au renforcement des  liens entre l'équipe éducative et les parents d'élèves ;
- favoriser les liens entre l'établissement scolaire et son environnement ;
. dans le domaine de la prévention (services sociaux, associations, collectivités territoriales, etc.),
. dans le domaine de la sécurité (avec police, gendarmerie, notamment les correspondants sécurité-école, etc.).

4. Recrutement
Les APS sont recrutés au niveau bac+2 par les chefs d'établissement qui s'assureront de l'adéquation du profil du candidat aux compétences attendues.
Ce recrutement s'effectue sur la base des dispositions du décret n° 2003-484 du 6 juin 2003 modifié, fixant les conditions de recrutement et d'emploi des assistants d'éducation. Conformément à ces dispositions, le travail des APS se répartit, dans le respect de la durée annuelle de référence (1 607 heures) prévue à l'article 1er du décret du 25 août 2000, sur une période d'une durée minimale de trente-neuf semaines et d'une durée maximale de quarante-cinq semaines.
Dans le cadre général du recrutement des personnels contractuels de l'établissement et de la délibération qui l'autorise, le dispositif (recrutement et missions) est présenté au conseil d'administration de l'EPLE dont la délibération approuve le principe et les modalités du contrat.

5. Formation
Les APS reçoivent une formation durant les 8 premières semaines suivant leur prise de fonctions.
Durant cette période, le temps de service se décompose en 25 heures hebdomadaires de formation consacrées à leurs missions spécifiques, les 10 heures restantes étant réservées à l'appropriation du fonctionnement de l'établissement d'affectation et à la connaissance du rôle et des missions des différents personnels (personnels de direction, d'enseignement, d'éducation, sociaux et de santé, administratifs, ouvriers et de service, etc.), à la connaissance du contexte environnemental de l'EPLE et notamment des différents partenaires institutionnels. Un contact privilégié est établi, en outre, avec les membres des équipes mobiles de sécurité de l'académie, susceptibles d'intervenir dans l'établissement. La mise à contribution des acteurs de l'école s'accompagne de la sollicitation de partenaires institutionnels de formation du ministère de l'éducation nationale (École supérieure de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche), mais également externes à l'institution (Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice, École nationale de la magistrature, etc.).
Les contenus de formation répondent à un cahier des charges annexé à la présente circulaire.
À l'issue de la période de formation de 8 semaines, ils exercent pleinement leur mission dans l'établissement.
Cette formation pourra d'autre part faire l'objet d'une validation des acquis dans la perspective d'une professionnalisation ultérieure.
À cette fin, tout ou partie des 200 heures annuelles allouées à la formation des APS pourront servir au suivi de formations diplômantes, soit en alternance au niveau L3 faisant appel, en cas de nécessité, aux modalités de formation à distance, soit par validation des acquis de l'expérience, selon des dispositions qui seront définies avec le ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche.

6. Calendrier de mise en œuvre à la rentrée 2012 et bilan
L'ensemble des APS doit être recruté au plus tard le 1er octobre 2012, afin que leur formation se déroule en octobre et novembre.
Le mois de septembre doit permettre aux chefs d‘établissement d'effectuer leur recrutement, et aux délégués académiques à la formation des personnels de construire le plan de formation.
Un premier bilan portant principalement sur le recrutement, la formation et le champ des missions attribuées aux APS sera transmis à la DGESCO pour la mi-février 2013.
Un second bilan portant notamment sur les missions effectuées sera demandé pour la fin juin 2013.


Pour le ministre de l'éducation nationale
et par délégation,
Le secrétaire général,
Jean Marimbert
Le directeur général de l'enseignement scolaire,
Jean-Michel Blanquer


Annexe 2
Cahier des charges de la formation des assistants chargés de prévention et de sécurité

1. Objectifs
Faire acquérir des connaissances et des compétences nécessaires à l'exercice de l'ensemble des missions décrites dans la circulaire (cf. points 1 et 3 : missions et activités du poste).

2. Modalités d'organisation
a) Préparation à la prise de fonctions
Durée : 8 semaines (suivant la date de prise de fonctions)
Alternance : 25 heures hebdomadaires de formation théorique et 10 heures hebdomadaires sur site dans l'établissement d'affectation
b) Accompagnement après la prise de fonctions (au cours de la première année d'exercice)
Regroupement mensuel d'une journée (départemental, académique ou interacadémique selon les effectifs) :
- ½ journée en groupe d'analyse de pratique supervisé et animé par des experts (ressources académiques ou intervenants formés par l'Esen) ;
- ½ journée d'actualisation et d'approfondissement des connaissances en fonction des besoins exprimés.
Ce dispositif devra être coordonné au niveau académique par un responsable désigné par le recteur.

3. Contenus
Apports théoriques
- statut de l'agent public, droits et obligations ;
- connaissance des valeurs du service public de l'éducation nationale ;
- connaissance des politiques de prévention de la violence, de l'institution scolaire, de son fonctionnement et de ses acteurs (l'EPLE et ses partenaires) ;
- connaissance des phénomènes de violence en milieu scolaire (violences, harcèlement, comportements à caractère discriminatoire, etc.) et des contextes sociologiques ;
- connaissance des risques liés aux nouvelles technologies ;
- connaissance des problématiques adolescentes (conduites à risques, psychologie de l'adolescent, etc.) ;
- connaissance des programmes efficaces de prévention ;
- connaissance des acteurs locaux de la prévention et de la sécurité ;
- notions relatives à la justice des mineurs ;
- maîtrise de l'outil de diagnostic local de climat scolaire.
Savoir-faire et attitudes
- gestion des conflits ;
- conduite de projets, animation de groupes ;
- exercice de l'autorité et positionnement institutionnel.
Mises en situation
- Travail à partir de cas pratiques (montage de projets, résolution de situations).
Stages auprès des partenaires de l'académie
(à titre indicatif : une durée globale équivalant à une semaine de formation sur l'ensemble de la formation)
- commissariat ou gendarmerie ;
- justice (maison de la justice et du droit, PJJ, tribunaux, etc.) ;
- conseil général (aide sociale à l'enfance, prévention spécialisée, etc.) ;
- associations d'aide aux victimes ;
- maison des adolescents.

4. Autorités responsables de la formation
Académies dans le cadre du plan académique de formation 
Coordinateur académique du réseau des APS : coordonne la formation, accompagne la prise de fonctions, aide à l'expression des besoins.

5. Intervenants
- Personnels d'inspection et de direction, d'éducation, conseillers techniques sociaux et de santé, etc. ;
- équipes mobiles de sécurité ;
- ressources universitaires ;
- partenaires : École supérieure de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche (Esen), Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ), École nationale de la magistrature (ENM), École nationale de protection judicaire de la jeunesse (ENPJJ), Fédération des autonomes de solidarité laïque (FAS).

6. Formation continue
Pendant leur première année d'exercice les APS suivent la formation relative à l'acquisition de l'attestation « Prévention secours civiques niveau 1 (PSC1) » prévue par le décret n° 91-834 du 30 août 1991 modifié, relatif à la formation aux premiers secours, inscrite aux plans académiques de formation.
Après leur première année de fonctions, les APS bénéficient de formations inscrites à leur intention au plan académique de formation, notamment de formations communes avec les EMS.

 

 

22 octobre 2014

PERMANENCE SNUDI BREST

Le SNUDI tiendra une permanence le mardi 28 octobre à BREST, 5 rue de l'Observatoire pour répondre à vos questions ou recueillir vos témoignages.

9h30/12h

14h/16h30

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17 octobre 2014

A propos de Magistère

“MAGISTÈRE” est « intrusif, suspicieux, contraignant,
insultant, dangereux, méprisant, inégalitaire »
sont quelques-uns des qualificatifs qu’inspire ce dispositif à nos collègues.

Vous lirez en pièce jointe le document rédigé par le SNUDI-FO 22 suite à de nombreux échanges avec les collègues.
Faites nous part de votre propre expérience...

Le SNUDI-FO va intervenir à tous les niveaux pour que les droits, la dignité et les conditions de travail des enseignants soient respectés.

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SNUDI_FO___Magist_re

16 octobre 2014

Le CHSCT c'est quoi?

En attendant une page sur le site de l'IA 29, voivi une présentation officielle sur le site de l'éducation nationale:

 

http://www.education.gouv.fr/cid4253/sante-bien-etre-et-securite-au-travail.html

 

14 octobre 2014

RYTHMES: vos témoignages nous intéressent!!

Suite à notre lettre aux école de la semaine dernière, vous avez été nombreux à réagir et cela nous intéresse...

Continuez à nous faire remonter vos problèmes.

Voici un petit exemple des témoignages reçus et cela ne concerne QUE notre département!!!

-          Grosse fatigue des élèves

Beaucoup de parents et d’enseignants constatent que les sont épuisés. Une maman m’expliquait que son fils d’habitude très actif, n’a pas voulu sortir de sa chambre le dimanche et souhaitait se reposer.

Une enseignante de CP se voit mettre des mots aux parents leur indiquant que leur enfant est très fatigué et a du mal à suivre en classe

 

« Dans une école près de Brest, la municipalité a choisi de rallonger la pause méridienne. Il n'y a des TAP qu'une fois par semaine durant 1 H. Les conséquences sur les élèves, après 6 semaines à ce rythme, sont désastreuses. J'enseigne depuis plus de 20 ans et n'ai jamais vu les élèves aussi fatigués. Vendredi certains de mes élèves de CM ont dormi sur leur table tandis que nous visionnions un "c'est pas sorcier". Les enfants se plaignent de la pause du midi qui est trop longue, 2 Heures en primaire et 2H30 en maternelle. Comme nous avons un self certains mangent très vite puis se retrouvent 1H45 à courir sur la cour. Et pour l'instant il n'a pas fait trop mauvais. Nous appréhendons l'hiver !

 Les nouveaux rythmes devaient alléger la semaine de l'enfant, ils l'alourdissent car ils sont à l'école aussi longtemps qu'avant avec le mercredi en plus. Même certains collèges privés s'arrangent pour que les élèves de 6ème et 5ème n'aient pas cours le mercredi matin. Les élèves du primaire ont l'emploi du temps le plus chargé de tous.

 Nous étions nombreux à être contre ces nouveaux rythmes car nous n'étions pas dupes. Aussi n'avons-nous pas compris la position de la plupart des syndicats qui eux étaient pour. « 

 

Certains parents ont participé à l’opération des gilets jaunes les 1er et 4 octobre montrant leur opposition à cette réforme qui nuit à leur vie familiale.

 

-          Grosse fatigue et pression sur les personnels

Ainsi, pour se coller aux nouveaux rythmes, pour de nombreuses collègues, la quotité des temps partiels a été modifiée sans demander leur avis aux collègues !

Une collègue à mi-temps obligée de revenir le jour où elle ne travaille pas pour assurer les APC !!!

 

Dans le Finistère Sud, des écoles qui perdent des effectifs car le privé n’applique pas !

 

 

-          Confusion entre le scolaire et le périscolaire

Parents et enfants ne savent plus distinguer temps scolaire et temps périscolaire.

9 octobre 2014

Redoublement et économie

3 octobre 2014

Conférence nationale Délégation chez la ministre pour l'abrogation des décrets Peillon et Hamon

vendredi 3 octobre 2014

A l’initiative du SNUDI-FO,
avec les fédérations des personnels enseignants (FNEC-FP-FO) et territoriaux (FSPS FO).

Le 19 novembre à PARIS

Etablissons les faits et les méfaits de la réforme

Depuis des mois, le SNUDI-FO dénonce le caractère destructeur des décrets Peillon/Hamon pour le statut de fonctionnaire d’Etat des enseignants et tous leurs méfaits.

C’est le désordre pour les personnels, les enfants et les familles : avec la confusion entre scolaire et périscolaire, la fatigue, les horaires différents chaque jour, les activités inexistantes ou insignifiantes et de surcroît payantes, le mercredi travaillé aux frais des enseignants, le PEDT, la réquisition des salles de classe et du matériel pédagogique pour les activités périscolaire …

A Marseille le 24 septembre, le SNUDI-FO et le syndicat FO des territoriaux ont appelé à la grève les personnels qui ont manifesté à la préfecture pour la suspension immédiate de la réforme, témoignant des problèmes rencontrés.
Les représentants du ministre se sont refusés à répondre !

La nouvelle ministre N. Vallaud-Belkacen peut bien vanter « les bienfaits incommensurables pour les apprentissages » de la réforme, la réalité est malheureusement tout autre.

  • A Paris, les enseignants sont chassés de leur salle de classe pour laisser la place aux activités péri-scolaires.
  • En Haute-Loire, des collègues signalent qu’ils assistent impuissants, à des scènes indignes de l’école publique : des enfants inscrits ne participent pas aux activités péri scolaire, se retrouvant livrés à eux-mêmes, en dehors de l’école.
  • Dans le Gard, des associations catholiques assurent les activités péri-scolaires dans certaines écoles. Dans les Yvelines un enfant a été brûlé suite aux expériences menées par une association pendant les TAP.
  • A Lyon, le maire lui-même, pourtant farouche défenseur de la réforme, a préféré inscrire ses propres enfants dans une école privée fonctionnant sur 4 jours.
  • Les enseignants de Saint-Just déplorent que cette réforme place de fait les élus municipaux en donneurs d’ordre dans leur école, sur les activités qui s’y déroulent, avec des incidences sur le travail scolaire, mettant les enseignants sous la coupe de ces élus.
  • En Seine-Saint-Denis, en Haute-Loire, les DASEN organisent des formations communes enseignants/animateurs et dans le Territoire de Belfort, le Tarn… les ATSEM sont convoqués à la consultation sur les nouveaux programmes dans le cadre de l’école du socle !
  • A Cergy, préfecture du Val d‘Oise, le maire entend faire signer aux écoles une convention pour organiser le nouveau «  Service Public de l’Education » dont la charte serait le « cadre réglementaire commun et partenarial » et «  la base d’engagement réciproque  », qui se substituerait à l’Education Nationale !

La réforme des rythmes scolaires a déjà entraîné la suppression de la limite des 24 heures d’enseignement hebdomadaires pour les titulaires remplaçants et les enseignants exerçant sur plusieurs écoles.

Partout les personnels refusent.

  • Déjà les employés territoriaux d’Auxerre, Strasbourg, Sevran, Saint-Brieux, Saint-Denis, Les Lilas… avec leurs syndicats FO et CGT se mobilisent pour refuser la précarité grandissante, les conditions de travail dégradées liées aux rythmes scolaires.
  • A Vitry (94) l’assemblée des enseignants, à l’initiative du SNUDI-FO, a décidé d’une pétition pour la suspension immédiate qui est cosignée par le SNUipp.

La ministre et ses soutiens syndicaux, veulent occulter la réalité.

Le SNUDI-FO appelle ses syndicats départementaux à :

  • établir la réalité concrète de la situation du point de vue des personnels enseignants et territoriaux, mais également des élèves et des parents,
  • poursuivre les initiatives en direction des pouvoirs publics,
  • préparer des délégations de ville, de secteur, de département à la conférence nationale qui sera rendra en délégation chez la ministre le 19 novembre.

Pour l’abrogation des décrets Peillon/Hamon

Au cours de cette conférence, sera débattue des initiatives à prendre pour se faire entendre de la Ministre de l’Education Nationale, pour qu’il soit mis fin à la mise en oeuvre de la réforme des rythmes scolaires.

A cette occasion, les fédérations FO des personnels enseignants et territoriaux inviteront les organisations syndicales qui se sont prononcées contre la réforme des rythmes scolaires.

Montreuil, le 1er octobre 2014

2 octobre 2014

Courrier au MEN sur la consultation des nouveaux programmes

Madame la Ministre,

Vous avez fait le choix d’organiser une consultation des enseignants, du 22 septembre au 18 octobre, dans le cadre de l’élaboration de nouveaux programmes, consécutifs du « socle et de connaissances, de compétences et de culture  », par le Conseil Supérieur des Programmes.

Les conditions dans lesquelles s’organise cette consultation soulèvent de nombreux problèmes.

Dans le 1er degré, les directeurs sont désignés pour prendre les notes et rédiger la synthèse des débats qui auront lieu sur ce temps de concertation. Faut-il rappeler que ces personnels ne sont pas chef d’établissement et qu’à ce titre ils n’ont ni l’autorité, ni la mission pour établir une synthèse des débats au nom de leurs collègues.

De plus, une telle synthèse représente une quantité de travail conséquente incompatible avec leurs conditions de travail. Vous n’êtes pas sans savoir que la charge de travail d’un directeur aujourd’hui est extrêmement lourde alors même que le nombre d’EVS aide-administrative est plus que réduit dans les écoles.

Des enseignants de CM1 et CM2 sont convoqués à la consultation dans le collège du secteur, au nom du conseil école/collège, de surcroît sans frais de déplacement. Un Professeur des Ecoles, comme un instituteur, n’a pas vocation à émettre un avis sur les programmes à mettre en œuvre dans les classes du collège. En effet ni ses missions, ni ses obligations de service statutaires ne lui permettent d’y être affecté.

Nous vous demandons de nous donner toutes les garanties pour que le supérieur hiérarchique des enseignants des écoles soit seul fondé à établir cette synthèse, qu’aucun directeur ne se voit contraint d’assumer une responsabilité qui ne peut être la sienne et que chaque enseignant participe à la consultation correspondant à son statut.

Dans plusieurs départements, les autorités académiques nous font connaître leur opposition à la tenue de RIS le jour de la consultation au motif que celle-ci primerait sur tout autre considération.

Ainsi la DASEN du Tarn indique «  qu’aucune réunion d’information syndicale ne peut être organisée lors de la demi-journée banalisée (…), cette disposition a été précisée par le Ministère aux Recteurs. ».

Si nous ne pouvons que nous féliciter que cette opposition ait pu être finalement levée, une telle dérive n’est pas plus acceptable que ne l’est, pour Force Ouvrière, l’arrêté du 20 août et la circulaire du 16 septembre aux recteurs sur le droit syndical. En s’exonérant des règles communes fixées par le Décret n° 2012-224 du 16 février 2012 modifiant le décret n° 82-447 du 28 mai 1982, ces deux textes induisent une logique liberticide qui ne peut que conduire à toujours plus de restriction du droit syndical pourtant affirmé dans le décret.
Aucune réglementation, pas même la circulaire aux recteurs que nous contestons, ne définit une restriction de cet ordre.

La période électorale actuelle impose un calendrier contraignant qui ne permet pas de modifier à loisir les dates de réunions d’informations syndicales. Toute opposition litigieuse ne peut qu’apparaître comme une ingérence dans la campagne au détriment d’une organisation syndicale, ce qui n’est ni souhaitable, ni respectueux des règles démocratiques.

Dans ces conditions, nos syndicats organiseront des Réunions d’Informations Syndicales au jour fixé par leurs instances en conformité avec les textes réglementaire existants.

Nous rencontrons également des difficultés dans le second degré avec des réponses diverses quant à l’obligation de participer à cette consultation pour les professeurs.
Dans certains endroits, les professeurs s’entendent dire qu’ils doivent participer, que c’est une obligation et qu’ils seraient soumis à une mesure de retrait d’un trentième sur leur traitement, même s’ils n’ont pas de cours le jour de la consultation.

Nous souhaitons, pour ne pas ajouter des tensions, que la participation à la consultation relève, comme elle doit, du volontariat notamment quand les collègues n’ont pas cours.

Enfin, nous souhaitons voir réaffirmer que le principe de la liberté de conscience de chacun doit être respecté et que nul ne peut être contraint d’émettre un avis sur les nouveaux programmes dont le cadre est contraint par le « socle commun de connaissances, de compétences et de culture ».

Montreuil, le 1er octobre 2014

1 octobre 2014

Fonctionnaires stagiaires: une première victoire qui en appelle d'autres

Force Ouvrière informe :

Ce jour, mercredi 1er octobre, lors de l’audience demandée et obtenue par Force Ouvrière, étaient présents des étudiants fonctionnaires stagiaires des différents départements de l’académie.
La délégation, constituée de 21 personnes, était mandatée et porteuse de près de 600 signatures sur la pétition [1] élaborée en commun par les EFS et le SNUDI-FO lors de la réunion du mercredi 10 septembre. La pétition formulait clairement les exigences suivantes :

  • Aucune validation pour ceux qui ont déjà un M2 et ceux qui en sont dispensés (concours interne, concours troisième voie…),
  • Allègement du M2 pour ceux qui doivent le passer,
  • Pour une assiduité à des cours professionnalisants préparant la pratique de la classe.
Mme Marin Directrice académique de l’ESPE a annoncé à la délégation que pour les Etudiants Fonctionnaires Stagiaires du premier comme du second degré :
Il ne sera exigé ni mémoire, ni écrit professionnel pour ceux qui ont un M2 (quel qu’il soit)
La validation des ECTS sera faite par une assiduité « active » (critères à préciser)
La possibilité d’une dispense pour certaines unités d’enseignements sera étudiée au cas par cas suite à des demandes motivées par mail
Un allègement du M2 Classique dont les modalités sont à préciser
Le réexamen des transferts de scolarité pour des raisons médicales ou sociales graves

Indiscutablement il s’agit d’un premier recul et d’une première victoire pour l’ensemble des collègues EFS de l’académie, qu’ils soient professeurs des écoles, professeurs certifiés, agrégés ou PLP. Des précisions et des garanties supplémentaires doivent être apportées : en quoi consistera l’allègement effectif du M2 ? Quels seront les critères pour reconnaître l’ « assiduité active » et ainsi valider les ECTS ? Comment seront validés les collègues qui sont dispensés de M2 ? Sur quel critère sera basé l’avis de l’ESPE avant la titularisation ?


Afin d’obtenir toutes ses garanties et d’obtenir les réponses qui restent encore en suspens,
à l’issue de la délégation les étudiants stagiaires et les organisations syndicales présentes (FO, SNUipp, SUD, CGT) ont décidé d’appeler tous les stagiaires à se rassembler

mercredi 8 octobre à 15h devant le Rectorat de Créteil
Cette première victoire en appelle d’autres :
tous au rassemblement

Créteil, le 1er octobre 15h

[1] 1 Les responsables du SNUIPP-FSU et de SUD ont donné leur accord avec ces revendications et se sont joints à la délégation. La CGT educ’action a apporté son soutien. Le SE-UNSA a fait part lors d’une réunion organisée par les stagiaires mercredi 24 septembre à Bonneuil de son désaccord avec les revendications de la pétition et n’était pas présent.

30 septembre 2014

Les positions de FO (FNEC FP FO) dans l'enseignement (1er, 2nd degré et enseignement supérieur)

30 septembre 2014

Petit guide pour s'inscrire sur les listes électorales et voter (2)

28 septembre 2014

Petit guide pour s'inscrire sur les listes électorales et voter

23 septembre 2014

PERMANENCE SNUDI BREST

Cette année, le jour de permanence est le mardi.

N'hésitez-pas à nous contacter ce jour là, ou à passer à BREST.

Il vaut mieux appeler avant.

23 septembre 2014

Les faits confirment la nocivité de la réforme

Communiqué SNUDI-FO du 17 septembre 2014

Les faits confirment la nocivité de la réforme

Rentrée 2014
vendredi 19 septembre 2014

Le SNUDI-FO apporte tout son soutien à la grève des personnels territoriaux et des enseignants de Marseille pour la suspension de la réforme.

Depuis leur publication, le SNUDI-FO demande l’abandon des décrets Peillon-Hamon mettant en place la réforme des rythmes scolaires qui territorialise l’école et le statut de ses maîtres.

Force est de constater qu’à cette rentrée scolaire, les faits dépassent les craintes de Force Ouvrière.

Les nouveaux rythmes scolaires, c’est le désordre à tous les niveaux

Ainsi, à Villeurbanne dans le Rhône, il a été fait appel à la police pour disperser un rassemblement de parents excédés par les conditions d’accueil de leurs enfants pendant les activités péri scolaires.
Ailleurs, ce sont des associations religieuses qui assurent ces activités.
On note ici qu’une personne âgée de 80 ans apprend la belote aux élèves, là que des cours de calligraphie sont mis en place pour des enfants de 3 ans.

Dans de nombreuses écoles, on ne compte plus les élèves qui sortent de l’enceinte scolaire alors qu’ils devraient y rester, qui restent alors qu’ils devraient partir, ce qui pose directement le problème de leur sécurité physique.

De nombreux parents font le constat que les activités qui étaient jusqu’à maintenant gratuites à l’école publique, deviennent payantes lorsqu’elles basculent dans le champ du périscolaire, y compris la sieste pour les enfants de maternelle.

Certains désinscrivent leur enfant de l’école publique pour le placer dans le privé.
D’autres parents font l’amalgame entre ces activités et les enseignants et s’en prennent à ces derniers.
De manière plus générale, les activités périscolaires se résument à des garderies quelquefois occupationnelles. Le constat général c’est que les élèves sont plus fatigués qu’auparavant et donc moins disponibles pour apprendre.

Les garanties statutaires et les conditions de travail des enseignants dégradées

Concernant les enseignants, le constat est accablant. Ce sont leurs garanties statutaires et leurs conditions de travail qui sont considérablement remises en cause.
Pour tous les enseignants, cette réforme se traduit par un jour de plus de travail le mercredi matin et la convocation d’animations pédagogiques le mercredi après midi.

Après avoirs introduit des horaires différenciés d’une école à une autre, le ministère a publié cet été un décret (litigieux car contradictoire au décret « fonction publique ») introduisant l’annualisation du temps d’enseignement pour tous les PE exerçant sur plusieurs écoles dont les titulaires remplaçants.

Dans de très nombreuses écoles, les enseignants se retrouvent en situation de surveillance des élèves qui attendent d’être pris en charge pour les activités périscolaires, effectuant ainsi des heures supplémentaires non rétribuées.

Les problèmes de réquisition de salles de classe pour assurer les activités périscolaires se multiplient.

Dans ces conditions, le SNUDI-FO réaffirme que la suspension de la réforme en vue de l’abrogation des décrets Peillon-Hamon constitue une urgence pour rétablir la sérénité dans les écoles du pays. C’est la raison pour laquelle il apporte tout son soutien aux initiatives en cours.

Comme à Argenteuil dans le Val-d’-Oise où le SNUDI-FO, le SNUipp, la CGT et la FCPE appellent à un rassemblement à la mairie le 17 septembre « contre la réforme des rythmes et son application ».

Informé en particulier de l’appel à la manifestation et à la grève lancée à Marseille le mercredi 24 septembre par Force Ouvrière pour les personnels territoriaux et les enseignants afin d’exiger la suspension immédiate de la réforme, le SNUDI-FO appuie sans réserve cette initiative.

Il invite ses syndicats départementaux à organiser des réunions, à adopter des motions de soutien à cette grève et à décider à leur tour des initiatives pour mettre en échec cette réforme.

Montreuil, le 17 septembre 2014nocivite_de_la_reformes_17_09_2014

17 septembre 2014

Emission des paroles et des actes

Notre camarade Nadine HOURMANT, déléguée syndicale du groupe DOUX, secrétaire adjointe de l'UD FO-29, intervient jeudi 18 septembre en direct à l'émission : "Des Paroles et des Actes" sur France 2 à 21h.
Nadine y va pour porter les revendications des salariés avec le drapeau FO.
Nous vous invitons à regarder l'émission.--

UD FO 29
5 rue de l’Observatoire 29200 BREST
TÉL. : 02 98 44 15 67 – FAX : 02 22 44 26 14
Adresse mail : udfo29@wanadoo.frFacebook : UD FO 29
N° siret : 777 621 335 000 36   

11 septembre 2014

Informations sur la situation de rentrée scolaire

Affectations : la réforme des rythmes scolaires désorganise totalement la rentrée

Rarement on aura connu une rentrée aussi chaotique du point de vue des affectations. Et tout n'est pas réglé. En cause, non pas les services de l'inspection académique, qui ont fait et font encore le maximum, mais les ministres qui ont publié les décrets de réforme des rythmes scolaires, et ceux qui les ont soutenus. En laissant les municipalités organiser comme elles pouvaient la journée et la semaine scolaire, les tenants de la réforme ont rendu la gestion des temps partiels et des TRS quasiment impossible. Ce sont encore une fois les personnels, enseignants et agents administratifs, sous pression, qui en font les frais.


Avant de quitter le ministère, Benoît HAMON, pas si frondeur que ça, a publié un décret sur les obligations de service des titulaires remplaçants et des collègues sur postes fractionnés. Ce décret autorise, réforme des rythmes scolaires oblige, à dépasser les 24 heures hebdomadaires d'enseignement pour ces personnels. S'il prévoit bien une récupération, il n'en précise pas les modalités, et surtout les soumet aux nécessités de service.
Il faudra que les collègues soient particulièrement attentifs au temps de service effectué.

Pour FO, la perspective plus qu'incertaine de pouvoir récupérer ne saurait nous faire accepter les dépassements des horaires hebdomadaires d'enseignement. Il faut abroger les décrets HAMON-PEILLON.

10 septembre 2014

Comment se syndiquer?

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