Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

SNUDI-FO 29

28 novembre 2013

Ecole Syndicaliste n° 398: la Une

Publicité
Publicité
28 novembre 2013

Halte à la désinformation sur la retraite des fonctionnaires!

21 novembre 2013

Communiqué des fédérations FO-CGT et SUD du 21 novembre 2013

appel à la grève nationale dans l’unité le jeudi 5 décembre
Le 14 novembre, la Fédération des Services Publics CGT, la CGT Educ’action, la
FNEC-FP-FO, la Fédération SPS-FO, la Fédération SUD Éducation, la Fédération
SUD Collectivités Territoriales et la FAEN ont appelé à la grève nationale pour
obtenir la suspension immédiate de la mise en oeuvre de la réforme, l’abrogation
du décret sur les rythmes scolaires et pour une autre réforme. Les enseignants et
les agents et les fonctionnaires territoriaux étaient en grève et ont manifesté
massivement.
Pour toute réponse, Vincent Peillon prétend d’une part annualiser les obligations
de services des enseignants du primaire assurant des fonctions de remplacement
ou exerçant sur des postes fractionnés et d’autre part élargir l’abaissement des
taux d’encadrement à l’ensemble des activités extra scolaires.
Les personnels et les élèves devraient donc faire les frais de la réforme.
La réforme des rythmes, mise en place à la rentrée 2013 pour un peu plus de
20 % des écoliers, fait apparaître de grandes difficultés. Déjà de nombreuses
communes annoncent leur refus de la mettre en place en 2014.
En faisant glisser les missions d’enseignement de l’Éducation nationale vers les
communes, elle crée de graves inégalités de traitement sur le territoire, et crée
une confusion entre scolaire et périscolaire (locaux, activités…).
Elle va à l’encontre de l’intérêt des enfants et de celui de l’ensemble des acteurs
concernés.
Cette réforme bâclée a été mise en oeuvre contre l’avis d’une majorité des
personnels et de leurs organisations syndicales, elle a été imposée sans les
moyens d’encadrement nécessaires.
C’est un échec pour Vincent Peillon et ceux qui le soutiennent encore, le ministre
doit en tirer les conséquences et retirer son décret.
A l’intersyndicale du 20 novembre, au siège du SNUipp-FSU, les organisations
Fédération des Services Publics CGT, CGT Educ’action, FNEC-FP-FO, Fédération
SPS-FO, SUD-Éducation, Fédération SUD Collectivités Territoriales ont pris acte
positivement de la proposition du SNUipp d’appeler les enseignants du 1er degré
à la grève sur une plate-forme qui revendique notamment la suspension de la
réforme des rythmes.
Le ministre ne peut se prévaloir d’aucun consensus, il doit répondre au
personnel, il doit répondre à la grève.
Pour l’unité d’action de l’ensemble des personnels concernés, les organisations
syndicales, Fédération des Services Publics CGT, CGT Educ’action, FNEC-FP-FO,
Fédération SPS-FO, SUD-Éducation, Fédération SUD Collectivités Territoriales,
réunies en interfédérale le 21 novembre 2013, appellent l'ensemble des
personnels du 1er degré ainsi que les personnels des collectivités territoriales,
animateurs, éducateurs territoriaux, enseignants artistiques territoriaux et
ATSEM, adjoints techniques … à faire grève le jeudi 5 décembre 2013, pour
obtenir la suspension immédiate de la mise en oeuvre de la réforme et
l’abrogation du décret sur les rythmes scolaires.
Nos organisations appellent leurs instances locales et départementales à se
réunir en intersyndicales et en assemblées générales avec les personnels, dans le
cadre unitaire le plus large possible, pour assurer le succès de la grève du 5
décembre et des suites à donner à cette lutte pour imposer une autre réforme.
Les organisations syndicales se réuniront à la suite du 5 décembre dans l’unité la
plus large possible pour faire le point sur la poursuite du mouvement pour faire
aboutir ces revendications.
Le 21 novembre 2013

21 novembre 2013

LSN n° 818

20 novembre 2013

Le code de l'éducation pour connaître vos droits et vos devoirs

Publicité
Publicité
18 novembre 2013

Grève du 14: communiqué SNUDI

Communiqué FNEC FP-FO du 15 novembre 2013

14 novembre :
immense mobilisation

vendredi 15 novembre 2013 par FNEC FP - FO

Hier, 14 novembre, la grève nationale des personnels enseignants du premier degré et des personnels territoriaux pour la suspension de la réforme des rythmes scolaires et l’abrogation du décret Peillon, a confirmé l’immense mobilisation et le profond rejet des personnels de toutes catégories soutenus par les parents d’élèves contre ce premier acte de la territorialisation de l’école publique qu’entend poursuivre le ministre Peillon.

La grève et les manifestations étaient appelées par les fédérations FO de l’enseignement et des services publics et de santé, les fédérations CGT de l’enseignement et des services publics, les fédérations SUD Solidaire de l’enseignement et des services publics et la FAEN.

Dans plusieurs dizaines de départements, les sections du SNUIPP-FSU se sont associées à la grève et aux manifestations, d’autres avaient fait le choix de maintenir un appel à la grève le 13 novembre.

Plus de 50% des personnels étaient en grève, 90% dans certains départements. Des manifestations très nombreuses se sont déroulées dans toutes les villes : 15 000 à Paris, 2 500 à Lyon, 3 500 à Marseille, 3 000 à Bordeaux, 2 000 à Toulon…

Cette grève et ces manifestations sont le résultat de centaines et centaines de réunions et d’assemblées avec les organisations syndicales dans les écoles, les communes, les circonscriptions, les arrondissements.

Ce matin, il apparaît que le ministre reste sourd à l’exigence d’ouverture de négociations sur les revendications. Il annonce maintenir sa réforme en l’état, il n’envisage aucune discussion ni négociation. Niant toute réalité, il prétend que dans 93,5% des communes, sa réforme s’applique avec succès ! Mieux ou pire, il annonce pour les prochains jours l’ouverture de son chantier d’adaptation des statuts de toutes les catégories de personnels à son programme de territorialisation de l’école publique.

Dès hier, dans de multiples assemblées et réunions, les personnels ont discuté de cette situation : le ministre est sourd ; il ne nous laisse d’autres choix que de discuter de la suite de notre mouvement, de la suite de notre grève. La poursuite de la grève y compris sous la forme de sa reconduction a été discutée dans plusieurs assemblées générales, notamment à Paris. Ainsi, à Bordeaux, 106 professeurs des écoles réunis à l’initiative du SNUDI-FO le 13 novembre, ont adopté une motion : « (…) nous pensons que ce n’est pas par des journées d’action à répétition que nous obtiendrons satisfaction, nous sommes prêts à poursuivre la grève jusqu’à obtention de la suspension de la réforme, seule à même de contraindre le ministre à retirer son décret… ».

Cette question est à l’ordre du jour.

La fédération Force Ouvrière propose à ses syndicats, à ses militants, de la mettre en discussion à tous les niveaux ; la FNEC FP-FO considère que les conditions sont réunies pour en discuter avec les personnels.

C’est dans cet état d’esprit et avec cette préoccupation que la fédération et ses syndicats participeront dans les jours prochains à tous les niveaux aux réunions intersyndicales qui vont se tenir pour réaliser l’action commune pour faire reculer le ministre.

Monsieur le Ministre, il est encore temps. C’est en fonction de vos réponses que les personnels vont décider. La FNEC FP-FO prendra toutes ses responsabilités.

Montreuil, le 15 novembre 2013

14 novembre 2013

Déclaration du SNUDI lors du rassemblement du jeudi 14 Novembre à Brest

Déclaration du SNUDI 29 lors du rassemblement à Brest le 14 novembre 2013

 

 

La réforme des «rythmes scolaires» mise en place à la rentrée pour un peu plus de 20% des écoliers apparaît, jour après jour, pour ce qu'elle est : un danger pour l'Ecole Publique, laïque et gratuite.

Elle accumule, jour après jour, mécontentements et oppositions de la part des personnels , des parents d'élèves, des conseils municipaux,et parmi ceux-là mêmes qui ont concouru à son application.

 

En faisant glisser les missions de l'Education Nationale vers les communes, cette réforme crée de graves inégalités de traitement (en locaux, activités, encadrement) selon les localités et une confusion volontaire entre le scolaire et le péri-scolaire.

Elle va à l'encontre des intérêts des enfants, des personnels enseignants et non enseignants.

 

A l'encontre des enfants car, si les 24heures d'enseignement sont réparties sur 5 jours,la présence des enfants à l'école, dans la confusion du scolaire et du péri-scolaire, est augmentée , engendrant fatigue et stress, perturbant la sérénité nécessaire aux apprentissages.

 

A l'encontre des enseignants qui, déjà accablés par la dégradation de leurs conditions de travail, vivent une situation pire dans les écoles passées à 4jours et demi, avec des élèves encore plus fatigués et déconcentrés, avec des salles de classes parfois réquisitionnées pour les TAP, démarche qui exprime concrètement la confusion entre ce qui est l'école et ce qui ne l'est pas.

Est-il acceptable que des enseignants soient contraints de quitter leur lieu de travail abritant du matériel pédagogique, voire des documents confidentiels afin que s'y tiennent des activités périscolaires ?

 

Cette réforme, c'est aussi, et peut-être surtout, la volonté gouvernementale de remettre en cause notre statut.
Cette volonté s'exprime clairement dans un nouveau projet de décret dont chaque syndicat vient d'être destinataire et qui annonce l'annualisation de notre temps de service.

En effet, le projet prétend permettre que les PE remplaçants ou en exercice partagé fassent plus de 24h d'enseignement par semaine (en plus des 108heures). Ces heures hors statut seraient prétendument récupérables selon le bon vouloir de l'administration départementale.

Pour le SNUDI FO, ce ne sont pas les obligations de service qui doivent être annualisées mais ce décret qui doit être retiré.

 

Car une fois encore, ce nouveau décret s'inscrit dans le cadre de la territorialisation de l'Ecole et du statut des enseignants, contre le caractère national et républicain de l'Ecole.

 

C'est pourquoi, nous refusons et refuserons toute mise en place de la Réforme Peillon

nous exigeons et exigerons sa suspension immédiate

nous exigeons et exigerons l'abrogation du Décret

 

14 novembre 2013

Spécial direction

PETITION_DIRECTION

 

Un numéro spécial direction est publié par le SNUDI.

Il est disponible sur demande (gratuit), n'hésitez-pas à nous le demander! (5MO)

13 novembre 2013

Calendrier scolaire, déclaration du SNUDI

10 novembre 2013

Communiqué rythmes scolaires du 08 novembre 2013

 

SNUDI.FO

 

Syndicat National Unifié des Directeurs, Instituteurs

et professeurs des écoles de l’enseignement public

Force Ouvrière

 

 

Le ministre veut annualiser le service des enseignants par décret.

Des maires commencent à demander la réquisition des salles de classe.

 

Voila où mène le décret du 24 janvier

Il doit être abrogé au plus vite !

 

Les PE devraient faire plus de 24 heures : Inacceptable !

Le ministre vient d’envoyer aux syndicats un projet de décret qui annualise le temps de service des enseignants du 1er degré. En effet, le projet prétend permettre que les PE remplaçants ou en service partagé fassent plus de 24 heures d’enseignement par semaine.

Ainsi, alors que les PE, les instituteurs, les directeurs sont déjà accablés par la dégradation de leurs conditions de travail, que la situation empire dans les communes passées à 4,5 jours , le ministre prétend leur imposer 25, 26, 28,  30 heures … d’enseignement par semaine, en plus des 108 heures.

FO n’acceptera pas une nouvelle remise en cause des garanties statutaires des enseignants fonctionnaires d’Etat. Ce n’est pas les obligations de service qui doivent être annualisées, c’est le décret qui doit être retiré.

 

Une récupération au bon vouloir de l’administration

En échange, ils« bénéficieraient » d’une compensation dont le calendrier serait défini par le DASEN selon « les périodes où les moyens de remplacement sont fortement sollicités » Quand on sait les tensions permanentes sur le remplacement dû au manque criant de postes, et que le projet de budget 2014 ne prévoit aucune création de postes, les possibilité de récupération risquent fort d’être virtuelles. Force Ouvrière n’oublie pas que, dans les hôpitaux, des millions de journées travaillées en plus des obligations de service n’ont jamais pu être récupérées.

 

L’individualisation des relations de travail

De plus l’organisation de la récupération serait décidée «  après consultation de l’agent ». C’est l’individualisation des relations entre le fonctionnaire et son employeur. Dans ces conditions comment chaque agent, individuellement, pourra-il faire valoir ses intérêts ?Comment refuser, seul face au DASEN, 28 heures dans la semaine, une récupération inadaptée…

 

La réquisition des salles de classes : inacceptable !

Le même jour le maire d’Aubervilliers demande à la ministre de la réussite éducative d’intervenir pour que les villes puissent réquisitionner les salles de classes pour les ateliers périscolaires.

« C’est un point de blocage avec les enseignants qui ne libèrent pas ces classes,  ce qui empêchent  la bonne mise en place de la réforme » dit le maire d’Aubervilliers. Les enseignants devraient accepter d’être contraints de quitter leur classe pour sauver la réforme dont ils ne veulent pas.

 

Le décret du 24 janvier : c’est la territorialisation de l’école

et du statut des enseignants. Il doit être abrogé !

        Plus que jamais, Grève le 14 novembre

7 novembre 2013

Rattrapage journée de pré-rentrée

7 novembre 2013

Grève du 14 novembre, la lettre aux parents

 

Grève du 14 novembre 2013

LETTRE AUX PARENTS D’ELEVES

 

Madame, Monsieur,

 

Nous tenons à vous informer que jeudi 14 novembre, les enseignants ainsi que les personnels communaux seront en grève pour défendre l’école publique et les élèves, c’est-à-dire vos enfants.

Ils revendiqueront que le décret concernant les rythmes scolaires de M. PEILLON, ministre de l’Education nationale, soit abrogé, car ses effets sont dévastateurs.

 

En transférant aux municipalités ou aux communautés de communes, la responsabilité de mettre en place des activités périscolaires dans l’école et pendant le temps scolaire, le décret de M.PEILLON :

 

- désorganise l’Education nationale puisque chaque commune va avoir ses propres rythmes ;

- soumet le temps scolaire aux exigences du temps périscolaire et crée la confusion entre eux ;

- instaure l’inégalité de traitement des enfants suivant le niveau de richesse des communes ;

- contraint les communes à instaurer un « impôt PEILLON », et ouvre même la possibilité de rendre les activités payantes ;

- transforme l’Ecole publique en une multitude de services éducatifs locaux concurrents mettant en danger à brève échéance l’existence même des écoles des petites communes.

- n’impose aucune obligation de respecter les moindres taux d’encadrement pour les activités périscolaires (pourtant assouplis, malgré un avis contraire du Conseil d’Etat !), ni même de déclarer les activités proposées… Les textes permettent même de confier vos enfants « à toute personne physique ou morale sauf si elle a fait l’objet d’une mesure judiciaire ou administrative lui interdisant cette possibilité (!), à des sociétés commerciales, des comités d’entreprise et même des particuliers…»

 

Reflétant le malaise posé par ce décret, 80% des communes de France ont refusé de l’appliquer à la rentrée 2013. Dans le Finistère, ce sont seulement 43 communes qui l’ont mis en œuvre et 189 qui ne l’ont pas fait.

Non seulement toutes les raisons de ne pas le mettre en place dès la rentrée 2013 demeurent pour la rentrée 2014, mais les quelques “expérimentations” en cours confirment et dépassent souvent toutes nos craintes :

 

- les nouveaux rythmes épuisent les élèves qui, pour certains, passent plus de 47 heures par semaine et 5 jours de suite à l’école, dont 24 heures seulement d’enseignement. Comment écouter le maître, saisir une explication, comprendre une consigne, se concentrer sur un travail nécessitant attention et application quand on est fatigué ?

- « récrés » sur le temps périscolaire d’une heure, une heure trente et plus, activités parfois inappropriées, passages des temps scolaires aux temps périscolaires chaotiques, laissant les élèves “en parking” .

- de nombreux élèves n’arrivent pas à se situer dans le temps (surtout les plus jeunes), les emplois du temps changeant d’une journée à l’autre.

- la journée de congé au milieu de la semaine est supprimée, alors que de l’aveu même d’une chronobiologiste pourtant acquise à la réforme, « aucun chronobiologiste n’a jamais demandé la suppression de la pause du mercredi (!) ».

- la sécurité des enfants est souvent mise en cause, par les taux d’encadrement insuffisants ou les conditions matérielles…

                     

Pour en finir avec l’argument selon lequel le décret Peillon relèverait d’une quelconque préoccupation envers les rythmes biologiques des élèves, il suffit de constater la multiplicité des organisations permises qui, selon le décret Peillon, seraient indistinctement respectueuses des rythmes biologiques !            De qui se moque-t-on ?

 

Par ailleurs les enseignants sont souvent contraints de quitter leurs classes, car celles-ci sont réquisitionnées pour les ateliers périscolaires. Cela dérange le travail de préparation des cours, mais aussi les conditions de conservation des affichages, des préparations matérielles de la classe et de confidentialité des documents personnels des élèves.

 

Comme le disent les enseignants parisiens confrontés à cette réforme : « A l’école, l’important c’est l’école, autrement dit les apprentissages. Apprentissages qui doivent se construire dans de bonnes conditions, dans la sérénité, ce qui n’est plus le cas. »

 

La réforme de M.PEILLON, qui n’est dictée que par la volonté de transférer aux communes des charges financières incombant à l’Etat, est étrangère aux besoins des élèves ; elle met en cause le caractère national et républicain de l’Ecole publique ; elle menace l’existence des écoles des petites communes ; elle  nuit au travail des enseignants comme des personnels territoriaux ; elle est néfaste aux élèves.

 

Voilà pourquoi les enseignants et les personnels territoriaux seront en grève avec les syndicats le 14 novembre.

Ils manifesteront à QUIMPER et BREST à 11h00. Nous appelons les parents d’élèves à les soutenir, en particulier en manifestant le 14 novembre 2013.

gr_ve_du_14__Finist_re_lettre_aux_parents

7 novembre 2013

GREVEN DU 14 décembre appel intersyndical


À l'appel des fédérations et organisations syndicales
CGT Services publics, CGT Educ’action, FNEC-FP-FO, Services publics et de santé FO, SUD-Éducation, SUD Collectivités Territoriales, FAEN

Enseignants du 1er degré,
personnels des collectivités territoriales


Tous en grève le jeudi 14 novembre 2013 !
pour la suspension des dispositifs en cours
• contre la mise en place de la réforme Peillon dans les autres communes à la rentrée 2014
 • pour l'abrogation du décret sur les rythmes scolaires

 

Les déclarations d'intention de grève sont à adresser aux IEN avant lundi 11 novembre minuit (attention, jour férié)

 Cet appel arrive à un moment important : d'une part les communes sont actuellement l'objet de fortes pressions pour qu'elles rendent rapidement les projets pour la rentrée 2014, d'autre part, la mobilisation se développe dans de nombreux départements.  A Paris, par exemple, après une assemblée générale réunissant plus de mille collègues, les syndicats SNUipp-FSU, Snudi-FO, Sud Education, CNT-Ste, CGT Educ’Action et FO Ville de Paris appellent à la grève ce 14 novembre pour la suspension du dispositif Delanoë, et le retrait du décret...

    La résistance des élus, la colère de nombreux parents, confrontés avec nous aux conséquences souvent désastreuses des dispositifs mis en place à la rentrée 2013, sont aussi des éléments non négligeables pour la réussite de la mobilisation des personnels.

    Vous trouverez également une pétition que nous vous invitons à faire circuler et à faire signer largement autour de vous. Organisez une réunion sur votre école, sur votre groupe d'école, sur votre secteur... N’hésitez pas à faire appel au SNUDI-FO.

Ce décret doit et peut être retiré.


                           Rassemblement à 11h à Quimper (place de la Résistance ) et à Brest (place de la Liberté) suivi d'AG des personnels.

6 novembre 2013

14 novembre rythmes scolaires déclaration d'intention de grève

AVIS DE PARTICIPATION A LA GREVE DU 14 NOVEMBRE
pour la suspension immédiate de la réforme Peillon,

pour l’abrogation du décret du 24 janvier !


 


ATTENTION
, avec le week-end du 11 novembre, votre avis doit parvenir à l’Inspection par voie postale au plus tard le 8 novembre avant la fermeture des bureaux, ou par fax ou mail au plus tard le 11 novembre avant minuit (seul l’envoi par la messagerie professionnelle prénom.nom@ac-rennes.fr est pris en compte).

declaration_intention_gr_ve (modèle sous les adresses)

5 novembre 2013

Education prioritaire tract 4 novembre 2013

1 novembre 2013

Savoir lire sa fiche de paie

Sur cette page, FO vous aide à lire votre fiche de paie: http://www.force-ouvriere.fr/paye.asp

 

 

1 novembre 2013

Rythmes des communes entrent en résistance; Colmar n'appliquera pas la réforme en 2014

1 novembre 2013

Appel à la grève: enseignants et agents territoriaux le 14 novembre

 

http://fo-snfolc.fr/IMG/pdf/Appel_a_la_gr_ve_14_novembre_2013_version_avec_bons_logos.pdf

Appel_a_la_gr_ve_14_novembre_2013_version_avec_bons_logos

26 octobre 2013

Le Figaro!!! Article sur les 4,5 jours: "parents et enseignants manifesteront les 13 et 14 novembre

21 octobre 2013

Le SNUDI FO réclame à nouveau le retrait du décret Peillon

Publicité
Publicité
<< < 10 20 21 22 23 24 > >>
SNUDI-FO 29
  • Syndicat National Unifié des directeurs, instituteurs et professeurs des écoles, carrière, droits, actions, publications nationales et départementales, mouvement des personnels, syndicalisation
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 29 086
Archives
Publicité